En 2005, il a été annoncé qu'un nouveau skatepark serait construit sur le terrain près de la Fourche. «Le Plaza», comme on le sait maintenant, a été construit avec l'argent gagné de la Fondation de la famille JW Burns.Le Plaza à La Fourche est du Canada meilleur et le plus grand skate plaza urbaines et complexes bol.
Qu’est ce que vous faissiez dans votre vie?
Je travaille comme un cadreuse à CBC. J’étudie pour recevoir un diplôme de la production et le journalisme. Maintenant, moi et Katherine écrivions le magazine qui s'appelle «Betty». J'écris les articles et Katherine fait du désign. Évidement, nous faisons la planche de roulettes.
Pourqoui avez-vous crée un magazine?
Pour moi, j’ai crée au début parce que je suis écrivaine. J’ai toujours voulu écrire pour des revues. Les articles dans revues sont plus fascines pour moi à lire. Plutôt, je lis comme les revues, puis que ca fait environ 10 ans depuis que j’ecris pour les revues. Puis, après ça, j’ai voulu commencer ma propre revue. Puis, c’est comme ça, pour moi. Pour elle, c’est différente.
Katherine: J’aime tellement lire les revues. C’est pas comme une obsession, mais, j’ai une collection. Ça fait 15 ans depuis que j’ai cherché les très belles revues, pour le design, les revues sont plus chères, parce que je préfère le design.J’ai voulu faire une revue parce que je suis tellement particulière avec les choses que je lis, parce que j’ai tellement étudié les revues, donc, particulièrement a propos de le design. C’est pourquoi nous avons joigné pour faire une deuxième revue, mais le première était un projet d’école. Elle a étudié Creative Communications, et le magazine était le projet finale. Nous sommes entraine de travailler ensemble de sous maintenant, puis on pense de mettre l’imprimante.
Comment vous vous sentiez à propos de la fait que Betty est le première magazine au Canada qui est tout a propos de filles qui planchent?
Moi, je pas mal fier. On a commencé à les vendre au Halifax, à Edmonton. Le filles là, étaient comme WOW, il n’y a pas les mêmes choses pour les filles qui faisent la planche. Alors, je suis pas mal fier que c’est le premier au Canada, c’est pour ça qu’on pousse tellement parce que faire une revue est vraiment comme un niche, comme un sujet particulière. C’est tellement très fort. Puis, c’est une marché vraiment compétitive. Moi, ça fait 10 ans depuis quand je fais du skateboard, puis, il y a toujours de Thrasher Magazine, puis jamais des filles dedans. Il y a des filles qui gagnaient les compétitions tout par tout, mais, elle ne mettent jamais dans les revues. Je vais faire un ou tu peux voir les filles qui faisent du skate.
Votre famille, a-t-elle toujours supporté tes loisirs?
Au début, quand j’ai commencé de faire du skate, il n’y avait pas beaucoup de filles qui la faisent. Ma mère pensait que j’allais caisser mes jambes. Mais là, elle est super supportive. Elle est vraiment fier de la revue, et le fait que tu peux l’acheter a plusieurs places a Winnipeg.
Katherine:
Pour la skate, ils me jamais rien disent. J’étais toujours sportive, et c’est un moyen de transport pour moi. C’est plus facile de montre dans un bu.
J’ai lu que vous étiez une gagnante de PWAC, quelle était votre réaction de ca?
Oh, tu as lu ça? Oui, j’étais tellement fier de ça. J`étais fier parce que l`écriture est ma passion, et c'est tellement difficile pour une fille à écrire et gagner un concours comme ça. J'étais vraiment contente.
Qu’est-ce vous voulez faire en l’avenir?
Nous avons le même rêve. Nous allons travailler ensemble sur la revue. Nous voulons que ça va payer nos salaires et payer la salaires des autres écrivains. Les gens qui écrivent les articles sont pas payés, ils veulent seulement partager avec nous. Nous voulons faire du marketing internationalement, on a tellement grande vision parce que c’est la première idée même. On veut que ca va vraiment grandir. Ça c’est notre focus.
Qu’est ce qui vous fascine dans la planche a roulettes?
Je pense que quand j’avais 16 ans, j’ai travaille a un café, puis elle m’a dit place A ou place B, je n’ai pas de la bicyclette, puis il y avait une fille qui a apporté son skateboard, c’était fun, et facile. Donc, je suppose que ca fait environ dix ans que j’ai fascine de ca.
Katherine: Je la faire peut-être 8 ans.
Quelles sont vos conseils pour les filles qui aiment la planche?
Je sais que c’est comme une minorité, pas des filles, touts les gars. Moi, c’est comme si elles sont les seules filles ici, elles doivent être confiante. C’est une chose pour célébrer. Elles ne sont pas les seuls qui faisent ça, parce que si tu commence, comme moi, je fais la cherche sur l’Internet pour voir s’il y a d’autres filles faisent du skate. Il y a partout comme. Il y a tellement filles, jusqu'à on parle jamais de ça. À mon avis, ne sentez seul, parce qu’il y a tellement filles qui faisent du skate. N’arretez pas parce que c’est une chose seulement pour les gars.
Katherine: C’est attractive, et c’est bon pour la santé!
Et pour celles qui aiment l’écriture?
Ça aussi, il faut pas quitter. C’est pas facile être écrivain. Faire la peige (comme freelancing), il faut d’envoyer des idées a des revues parce que tu peux penser que personne n’est intéressée par les choses qui tu as écrit. Il faut que tu poursuis les choses qui t’intéresse.
Combien des temps êtes-vous des amis?
Nous nous sommes rencontres sur le skate park. J’ai rencontré une fille sur la rue, mon amie, qu’elle connaissait. J’ai dit wow, il y a des autres filles qui faisent le skate. Le premier jour où nous nous sommes rencontrées, nous avons parlé des rêves, et nous avons trouvé que nous avions le même rêve, et les mêmes idées. Après ça, nous sommes ensembles tous les soir, et tous les journées.
Un photo du groupe avec Erin et Katharine dans le skate park
Welcome to the Forks.com. Société Forks North Portage. 2010. «http://www.theforks.com/28/314/4». 3 auot 2010.
Je pense que la rencontre avec Erin Chatelaine était la meilleure et la plus amusante. C’était moi qui a fait l’entrevue, et j’espere que Erin a pensé que c’était bon aussi. J’aime quelle avait beaucoup d’énergie a 10h du matin. Elle est venue avec son amie Katherine, qui était vraiment gentille aussi. Je n’ai jamais pensé que les fille peuvent vraiment faire la planche a roulette. Mais, le deux filles étaient tres devouée, et ca m’inspire. Toute le monde pense que les filles ne peuvent pas faire les memes choses que les garcons. Cettes filles nous ont dit que plusiers fois, et peut-etre la plupart de temps, elles étaient meuilleures que l’autre sexe.
RépondreSupprimerAussi, nous avons discuté a propos de son magazine «Betty» et sa success. Elle nous a donné le journal aussi comme un souvenir. Ca c’est tres cool! J’ai aimé qu’elles écrivent. Cet traville est vraiment difficile de faire, mais elles essayent toujours pour reussir. C’est toujours bon quand une personne peut mélanger deux choses qu’elle aime pour son travaille.
C’etait dommage qu’elles ne pouvaient pas nous montrer des “tricks”, mais c’était toujours un plaisir :)
Barbara Bobon