Projet Franc-Urbain
Barbara Bobon, Sherisse Roseboom, Marie Bergen, Gabrielle Fraser, Katrina Romanowich, Ashleigh Ragutero
lundi 2 août 2010
La Quatrième Visite avec Sylvie Hébert
Qu'est que c'est l'organisme Resource Conservation Manitoba?
C'est un bénévole - donc on ne fais pas notre travail pour de l'argent - dans laquelle on essai d'enseigner les gens comment vivre d'un manière qui est plus consaient de l'environment autour d'eux. On va bien-tôt changer notre nom a «Green Action Center» et en français, on sera «la Centre d'Action Verte». Donc on va enseigner l'educator environmental et encourager les gens de trouber des modes de transport qui sont plus vertes comme marcher, faire du vélo ou prendre l'autobs au travail. Moi je travail dans le compostage donc c'est moi qui enseigne les gens comment recyclé leur déchets comme le papier ou avec les reste de leur nourriture.
Pourquoi est-ce que vous choissisez travailler dans la conservation de l'environmental?
Mais la j'ai choisi cette carrière parce que je l'aime énormémont et parce que je voudrais faire un différence et c'est depuis que j'étais tout jeune que je savais ce que j'ai voulu faire quelque choise dans ce domain.
Qu'est-ce que vous avez étudié pour devenir le coordonnateur ici?
Oui, donc, j'ai pris des cours environmentals à l'université pour un programme de quatre ans. Puis ensuite j'ai trouvé des emplous qui avait a faire avec l'environment et j'ai aussi fait un peu de bénévolat. Puis, j'ai pris un vours qui s'appelle «Maître Composteur» et tu dois faire 30 heures de bénévolat dans le communauté pour finir le cours. Il y avait environ un certaine de personnes qui on pris cette cours avec moi.
Qu'est-ce que vous faisiez comme coordinateur du programme?
Bien, un fois par anneé tous les maîtres composteurs se rencontrent pour faire un peu plus d'entrainment dans ce domain. On vadans les écoles et on enseigne la compostage aux jeunes. Donc on va leur enseigner comment faire un boîte de compostage et comment de l'utilisé. On faut aussi des prèsentations au public general.
Comment est-ce que vous utilisez le français dans votre emploi?
Bien, quant je répond au téléphone je dis toujours «Manitoba Resource Conservation, bonjour!» pour que les gens sâchent qu'ils peuvent avoir le service en Anglais ou en Français. Si on demander pour un présentation en français, on va leur donner. C'est juste qu'on veut communiqué notre message avec tous les monde. On a aussi des brochures dans ces deux (angues officiels).
Comment est-ce que Resource Conservation Manitoba est impliqué dans la communauté?
Bien, comme j'ai dit on fait des présentations aux écoles. On a aussi un blog sa notre site web. On a aussi des «newsletters» - journals. Et ou. C'est ça.
Est-ce qu'il y a des programmes pour les jeunes a Resource Conservation Manitoba?
Bien, on a des prèsentations qu'on faut dans les garderies, mais ca on n'a pas vraiment grand chose pour les adolescents.
Qu'est-ce que vos conseils pour les jeunes qui veut aider la conservation de l'environmental?
Bien, pour les conseils c'est que chaque petit chose que tu faut font un difference. Car même si tu crois que c'est seulementtoi qui le faut, les gens autour de vous vont voir ce que tu fais et ils seront affecter par cela.
L'Histoire
Resource Conservation Manitoba a été créé en 1985. C'est à but non lucratif, organisation non gouvernementale. Ses objectifs sont d'aider à réduire les déchets et conserver les ressources précieuses, et pour augmenter l'éducation et la prise de conscience de la durabilité. Il a des programmes que travaille avec les familles, les lieux de travail, les écoles et les communautés sur le transport durable, la réduction des déchets, le changement climatique, et de mode de vie durable. Resource Conservation essaie de trouver des solutions au changement climatique, la pollution du trafic, la surconsommation et le dechets.
http://www.resourceconservation.mb.ca/
http://www.gov.mb.ca/trade/globaltrade/environ/companies/res_conservation.html
De nos jours, c'est très importante de composter nourriture que nous jetons. Nord-Américains jettent beaucoup de nourriture et s'il n'est pas recyclé, cela peut endommager l'environnement. Vous pouvez composter les fruits, les légumes, le pain, le riz, le vieille nourriture emballé, le marc de café, et les sachets de thé. Ce n'est pas une bonne idée de composter le viande, le poisson, les produits laitiers, ou les huiles.Après un repas, vous devez mettre vos nourriture compostables dans un sac en plastique dans le réfrigérateur ou dans un conteneur de compost. Vous devez vider votre conteneur de compost chaque jour pour éviter les odeurs ou les mouches des fruits. Ensuite, vous videz vos restes de nourriture dans votre bac à compost à l'extérieur et couvrez avec de la sciure de bois, le sol, les journaux, et les feuilles. C'est aussi une bonne idée d'ajouter des vers à votre compost pour aider à la décomposition. Au moins une fois par semaine, vous devez mélanger le contenu de votre bac à compost. Il devrait être scellé et étanche pour éviter les odeurs et les insectes. Quand votre compost est complètement composté, après plusieurs mois, vous pouvez utiliser votre compost dans votre jardin ou cour.
La troisième visit avec David MacNair
Les filles avec David
Quels sortes de projets est-ce que vous êtes généralement charger d'entrprenir?
Généralement on est donné des projets comme des brochures, et des affiches à faire.
Comme tous les personnes vous avez des passe-temps quelles j'imagine que vous consacrez beaucoup de temps. Pourriez-vous nous parler de votre côté artisitique?
Bon, mon hobbie est d'être artiste. Je peinte et aussi je fais des sculptures de glace et un fois j'ai du faire un design.
Quels changements est-ce que vous avez dû faire pour assurez que votre édifice soit en accord avec les réglementes de santé ?
Pour combien d'années est ce que vous avez eu la privilège de travailler ici?
Bien la, je suis indépendant mais je travaille avec le shop depuis 25 ans.
Vous êtes responsable de la communication entre les clients et l'entreprise non?
-oui c'est ça.
Est-ce que vous serez capable de nous expliqué c'est quoi exactement que vous faisiez?
Bien, nous commencons avec la rencontre avec les clients et on discute de leur projet, leurs besoins et si cette un affiche ou un brochure ou quoi que ce soit qu'ils voudraient. On prends les informations et je parle avec le département de design. Je mets ensemble le budget pour le client et puis je lui donne des options en niveau d'impression, de quel(s)couleur(s, dépendant de leur budgetpuis on trouve c'est quoi la meilleur façon de cheminer la produit. Alors un fois que le design est completé et le budget est en place le client va signer que tout est bien et correct--les choses sont bien. Ensuite, je travaille avec le département qui va faire la préparation, soit pour l'impression numérique (digital printing)ou bien pour "offset" printing pour laquelle on utilise la grosse presse. Et la c'est la préparation de la négatif, de la plaque ensuite jusqu'à la finisson et la livraison. puis la factulation.
Donc c'est ça la procèdure complète de comment vous publier un livre?
-Oui, c'est ça.
Votre édifice comprend de 14000 carées d'espace. Environ combien de copies de livres et cahiers êtes-vous capable de reproduire par année?
Oh boy, ça varie! Dernièrement, l'économie est à la baise. En fait, ça fait un ans depuis que les chose ont commené à baisser.Il y a beaucoup plus des gens qui mettent leur «news letter» dessus l'internet plutôt que de l'imprimer. C'est pour ça qu'on a commencé avec l'imprimeur numérique car les gens veulent seulement donner des échantillons donc ils vont seulement imprimer 200 ou quelque chose de même. Les autres disent bien visiter notre site web ou demander a un de nos employeurs. Mais c'est environ 1200 à 1500 dossiers par année.
C'est quoi la différence entre l'imprimeur numérique et celui «offset»?
Avec l'imprimeur numérique, on est capable de mettre plus de petits détails dans les projets, mais c`est plus petit, donc on l'utilise pour seulement les petites commandes. Avec l'imprimeur «offset», on est capable d'accomplir des plus grandes commandes. L'incre doit passer sur un des rouleaux et ensuite l'image est mis sur un autre rouleau et l'image est transféré de cette rouleau à la page.
Bien la, je suis indépendant mais je travaille avec le shop depuis 25 ans.
Vous êtes responsable de la communication entre les clients et l'entreprise non?
-oui c'est ça.
Est-ce que vous serez capable de nous expliqué c'est quoi exactement que vous faisiez?
Bien, nous commencons avec la rencontre avec les clients et on discute de leur projet, leurs besoins et si cette un affiche ou un brochure ou quoi que ce soit qu'ils voudraient. On prends les informations et je parle avec le département de design. Je mets ensemble le budget pour le client et puis je lui donne des options en niveau d'impression, de quel(s)couleur(s, dépendant de leur budgetpuis on trouve c'est quoi la meilleur façon de cheminer la produit. Alors un fois que le design est completé et le budget est en place le client va signer que tout est bien et correct--les choses sont bien. Ensuite, je travaille avec le département qui va faire la préparation, soit pour l'impression numérique (digital printing)ou bien pour "offset" printing pour laquelle on utilise la grosse presse. Et la c'est la préparation de la négatif, de la plaque ensuite jusqu'à la finisson et la livraison. puis la factulation.
Donc c'est ça la procèdure complète de comment vous publier un livre?
-Oui, c'est ça.
Votre édifice comprend de 14000 carées d'espace. Environ combien de copies de livres et cahiers êtes-vous capable de reproduire par année?
Oh boy, ça varie! Dernièrement, l'économie est à la baise. En fait, ça fait un ans depuis que les chose ont commené à baisser.Il y a beaucoup plus des gens qui mettent leur «news letter» dessus l'internet plutôt que de l'imprimer. C'est pour ça qu'on a commencé avec l'imprimeur numérique car les gens veulent seulement donner des échantillons donc ils vont seulement imprimer 200 ou quelque chose de même. Les autres disent bien visiter notre site web ou demander a un de nos employeurs. Mais c'est environ 1200 à 1500 dossiers par année.
C'est quoi la différence entre l'imprimeur numérique et celui «offset»?
Avec l'imprimeur numérique, on est capable de mettre plus de petits détails dans les projets, mais c`est plus petit, donc on l'utilise pour seulement les petites commandes. Avec l'imprimeur «offset», on est capable d'accomplir des plus grandes commandes. L'incre doit passer sur un des rouleaux et ensuite l'image est mis sur un autre rouleau et l'image est transféré de cette rouleau à la page.
Quels sortes de projets est-ce que vous êtes généralement charger d'entrprenir?
Généralement on est donné des projets comme des brochures, et des affiches à faire.
Comme tous les personnes vous avez des passe-temps quelles j'imagine que vous consacrez beaucoup de temps. Pourriez-vous nous parler de votre côté artisitique?
Bon, mon hobbie est d'être artiste. Je peinte et aussi je fais des sculptures de glace et un fois j'ai du faire un design.
Contemporary Printing Services a été formé en 1975 comme un petit compagnie. Il est situé dans le quarter français de Winnipeg et il offre des services en anglais et en français.
Contemporary Printing Services. 2007. «www.contemporaryprinting.com» 26 julliet 2010
Quels changements est-ce que vous avez dû faire pour assurez que votre édifice soit en accord avec les réglementes de santé ?
Mais la on a dû dépenser 35 000$ pour changer notre system de ventilation a cause des odeurs et les gazes dans l’air.
Katrina:
David McNair est un homme de plusieurs talents artistiques desquels il utilise dans son travail de jour en jour. On a trouvé étonnant combien de différentes étapes que chaque pièce de papier doit traverser avant qu’il soit publié. De la communication avec le client—le travail dont David est responsable—jusqu’au développement des négatifs et en fin la livraison, chaque étape prends du temps et est absolument nécessaire pour finir avec un projet de bonne qualité. C’est bien que David soit dans cette domaine de travail car il semblait non seulement au courant de tous ce qui s’est jamais venu a se passé dans l’entreprise mais parce qu’il semblait comme son travail lui plait beaucoup. Même si cette dernière remarque ne soit pas vraie il nous a convaincu autrement—c e qui est nécessaire dans ce domaine de travail pour laquelle il est responsable. Il nous a montré des exemplaires avec de la satisfaction énorme pour un travail bien fait. Il nous en a montré encore plus quand on a vu les produits finals des projets sur lesquels était placé son art à lui. La fierté était la seule expression sur son visage.
David nous a guidé partout sur le premier étage (le sous-sol) de l’entreprise et nous a expliqué chaque petit point avec enthousiasme. Il est clair qu’on a choisi le bon personne pour être en charge des communications car si David ne peut pas convaincre quel qu’un de choisir Contemporary Printing Services, il n’y a personne qui pourra le faire. David connais tout ce qui se passe, il est gentil et talentueux et absolument approchable. De tout en tout notre groupe a été bien reçu et cette entrevue a été bien passée.
David nous a guidé partout sur le premier étage (le sous-sol) de l’entreprise et nous a expliqué chaque petit point avec enthousiasme. Il est clair qu’on a choisi le bon personne pour être en charge des communications car si David ne peut pas convaincre quel qu’un de choisir Contemporary Printing Services, il n’y a personne qui pourra le faire. David connais tout ce qui se passe, il est gentil et talentueux et absolument approchable. De tout en tout notre groupe a été bien reçu et cette entrevue a été bien passée.
Le Musée des droits de la personne
Dans le Musée des droits de la personne, on retrouvera les choses à propos de la contribution canadienne nationalement et internationalement sur les droits humains. Par exemple, les heros et heroins d’aujourd’hui. Les touristes qui le visitent vont être confronter avec des problèmes de la discrimination, l’exclusion, et le génocide.
«Le rôle est pour la préservation et la promotion de notre héritage à notre domicile et autour. Ça va contribuer sur les souvenirs et l'identité de tous les canadiens. Ils veulent que les autres vont être inspire de faire les recherches, d’apprendre, et pour se divertir.»
Il y aura les expositions à propos de la grève générale à Winnipeg en 1919, Nellie McClung et le mouvement des droits à voter pour les femmes, la langue française, les droits de Métis et les autochtones, et les personnes comme Louis Riel qui avaient une histoire enrichi. Ce musée montrera les souvenirs fiers du Canada, mais aussi, les points faibles.
À propos du Musée.Musée canadien des droits de la personne.2010. «http://museedesdroitsdelapersonne.ca/propos-du-musee» 28 juillet 2010.
Amis du Musée canadien des droits de la personne. 2008. «http://www.friendsofcmhr.com/about/» 27 julliet 2010.
dimanche 1 août 2010
La deuxième visite avec Erin Chatelain
En 2005, il a été annoncé qu'un nouveau skatepark serait construit sur le terrain près de la Fourche. «Le Plaza», comme on le sait maintenant, a été construit avec l'argent gagné de la Fondation de la famille JW Burns.Le Plaza à La Fourche est du Canada meilleur et le plus grand skate plaza urbaines et complexes bol.
Qu’est ce que vous faissiez dans votre vie?
Je travaille comme un cadreuse à CBC. J’étudie pour recevoir un diplôme de la production et le journalisme. Maintenant, moi et Katherine écrivions le magazine qui s'appelle «Betty». J'écris les articles et Katherine fait du désign. Évidement, nous faisons la planche de roulettes.
Pourqoui avez-vous crée un magazine?
Pour moi, j’ai crée au début parce que je suis écrivaine. J’ai toujours voulu écrire pour des revues. Les articles dans revues sont plus fascines pour moi à lire. Plutôt, je lis comme les revues, puis que ca fait environ 10 ans depuis que j’ecris pour les revues. Puis, après ça, j’ai voulu commencer ma propre revue. Puis, c’est comme ça, pour moi. Pour elle, c’est différente.
Katherine: J’aime tellement lire les revues. C’est pas comme une obsession, mais, j’ai une collection. Ça fait 15 ans depuis que j’ai cherché les très belles revues, pour le design, les revues sont plus chères, parce que je préfère le design.J’ai voulu faire une revue parce que je suis tellement particulière avec les choses que je lis, parce que j’ai tellement étudié les revues, donc, particulièrement a propos de le design. C’est pourquoi nous avons joigné pour faire une deuxième revue, mais le première était un projet d’école. Elle a étudié Creative Communications, et le magazine était le projet finale. Nous sommes entraine de travailler ensemble de sous maintenant, puis on pense de mettre l’imprimante.
Comment vous vous sentiez à propos de la fait que Betty est le première magazine au Canada qui est tout a propos de filles qui planchent?
Moi, je pas mal fier. On a commencé à les vendre au Halifax, à Edmonton. Le filles là, étaient comme WOW, il n’y a pas les mêmes choses pour les filles qui faisent la planche. Alors, je suis pas mal fier que c’est le premier au Canada, c’est pour ça qu’on pousse tellement parce que faire une revue est vraiment comme un niche, comme un sujet particulière. C’est tellement très fort. Puis, c’est une marché vraiment compétitive. Moi, ça fait 10 ans depuis quand je fais du skateboard, puis, il y a toujours de Thrasher Magazine, puis jamais des filles dedans. Il y a des filles qui gagnaient les compétitions tout par tout, mais, elle ne mettent jamais dans les revues. Je vais faire un ou tu peux voir les filles qui faisent du skate.
Votre famille, a-t-elle toujours supporté tes loisirs?
Au début, quand j’ai commencé de faire du skate, il n’y avait pas beaucoup de filles qui la faisent. Ma mère pensait que j’allais caisser mes jambes. Mais là, elle est super supportive. Elle est vraiment fier de la revue, et le fait que tu peux l’acheter a plusieurs places a Winnipeg.
Katherine:
Pour la skate, ils me jamais rien disent. J’étais toujours sportive, et c’est un moyen de transport pour moi. C’est plus facile de montre dans un bu.
J’ai lu que vous étiez une gagnante de PWAC, quelle était votre réaction de ca?
Oh, tu as lu ça? Oui, j’étais tellement fier de ça. J`étais fier parce que l`écriture est ma passion, et c'est tellement difficile pour une fille à écrire et gagner un concours comme ça. J'étais vraiment contente.
Qu’est-ce vous voulez faire en l’avenir?
Nous avons le même rêve. Nous allons travailler ensemble sur la revue. Nous voulons que ça va payer nos salaires et payer la salaires des autres écrivains. Les gens qui écrivent les articles sont pas payés, ils veulent seulement partager avec nous. Nous voulons faire du marketing internationalement, on a tellement grande vision parce que c’est la première idée même. On veut que ca va vraiment grandir. Ça c’est notre focus.
Qu’est ce qui vous fascine dans la planche a roulettes?
Je pense que quand j’avais 16 ans, j’ai travaille a un café, puis elle m’a dit place A ou place B, je n’ai pas de la bicyclette, puis il y avait une fille qui a apporté son skateboard, c’était fun, et facile. Donc, je suppose que ca fait environ dix ans que j’ai fascine de ca.
Katherine: Je la faire peut-être 8 ans.
Quelles sont vos conseils pour les filles qui aiment la planche?
Je sais que c’est comme une minorité, pas des filles, touts les gars. Moi, c’est comme si elles sont les seules filles ici, elles doivent être confiante. C’est une chose pour célébrer. Elles ne sont pas les seuls qui faisent ça, parce que si tu commence, comme moi, je fais la cherche sur l’Internet pour voir s’il y a d’autres filles faisent du skate. Il y a partout comme. Il y a tellement filles, jusqu'à on parle jamais de ça. À mon avis, ne sentez seul, parce qu’il y a tellement filles qui faisent du skate. N’arretez pas parce que c’est une chose seulement pour les gars.
Katherine: C’est attractive, et c’est bon pour la santé!
Et pour celles qui aiment l’écriture?
Ça aussi, il faut pas quitter. C’est pas facile être écrivain. Faire la peige (comme freelancing), il faut d’envoyer des idées a des revues parce que tu peux penser que personne n’est intéressée par les choses qui tu as écrit. Il faut que tu poursuis les choses qui t’intéresse.
Combien des temps êtes-vous des amis?
Nous nous sommes rencontres sur le skate park. J’ai rencontré une fille sur la rue, mon amie, qu’elle connaissait. J’ai dit wow, il y a des autres filles qui faisent le skate. Le premier jour où nous nous sommes rencontrées, nous avons parlé des rêves, et nous avons trouvé que nous avions le même rêve, et les mêmes idées. Après ça, nous sommes ensembles tous les soir, et tous les journées.
Un photo du groupe avec Erin et Katharine dans le skate park
Welcome to the Forks.com. Société Forks North Portage. 2010. «http://www.theforks.com/28/314/4». 3 auot 2010.
Qu’est ce que vous faissiez dans votre vie?
Je travaille comme un cadreuse à CBC. J’étudie pour recevoir un diplôme de la production et le journalisme. Maintenant, moi et Katherine écrivions le magazine qui s'appelle «Betty». J'écris les articles et Katherine fait du désign. Évidement, nous faisons la planche de roulettes.
Pourqoui avez-vous crée un magazine?
Pour moi, j’ai crée au début parce que je suis écrivaine. J’ai toujours voulu écrire pour des revues. Les articles dans revues sont plus fascines pour moi à lire. Plutôt, je lis comme les revues, puis que ca fait environ 10 ans depuis que j’ecris pour les revues. Puis, après ça, j’ai voulu commencer ma propre revue. Puis, c’est comme ça, pour moi. Pour elle, c’est différente.
Katherine: J’aime tellement lire les revues. C’est pas comme une obsession, mais, j’ai une collection. Ça fait 15 ans depuis que j’ai cherché les très belles revues, pour le design, les revues sont plus chères, parce que je préfère le design.J’ai voulu faire une revue parce que je suis tellement particulière avec les choses que je lis, parce que j’ai tellement étudié les revues, donc, particulièrement a propos de le design. C’est pourquoi nous avons joigné pour faire une deuxième revue, mais le première était un projet d’école. Elle a étudié Creative Communications, et le magazine était le projet finale. Nous sommes entraine de travailler ensemble de sous maintenant, puis on pense de mettre l’imprimante.
Comment vous vous sentiez à propos de la fait que Betty est le première magazine au Canada qui est tout a propos de filles qui planchent?
Moi, je pas mal fier. On a commencé à les vendre au Halifax, à Edmonton. Le filles là, étaient comme WOW, il n’y a pas les mêmes choses pour les filles qui faisent la planche. Alors, je suis pas mal fier que c’est le premier au Canada, c’est pour ça qu’on pousse tellement parce que faire une revue est vraiment comme un niche, comme un sujet particulière. C’est tellement très fort. Puis, c’est une marché vraiment compétitive. Moi, ça fait 10 ans depuis quand je fais du skateboard, puis, il y a toujours de Thrasher Magazine, puis jamais des filles dedans. Il y a des filles qui gagnaient les compétitions tout par tout, mais, elle ne mettent jamais dans les revues. Je vais faire un ou tu peux voir les filles qui faisent du skate.
Votre famille, a-t-elle toujours supporté tes loisirs?
Au début, quand j’ai commencé de faire du skate, il n’y avait pas beaucoup de filles qui la faisent. Ma mère pensait que j’allais caisser mes jambes. Mais là, elle est super supportive. Elle est vraiment fier de la revue, et le fait que tu peux l’acheter a plusieurs places a Winnipeg.
Katherine:
Pour la skate, ils me jamais rien disent. J’étais toujours sportive, et c’est un moyen de transport pour moi. C’est plus facile de montre dans un bu.
J’ai lu que vous étiez une gagnante de PWAC, quelle était votre réaction de ca?
Oh, tu as lu ça? Oui, j’étais tellement fier de ça. J`étais fier parce que l`écriture est ma passion, et c'est tellement difficile pour une fille à écrire et gagner un concours comme ça. J'étais vraiment contente.
Qu’est-ce vous voulez faire en l’avenir?
Nous avons le même rêve. Nous allons travailler ensemble sur la revue. Nous voulons que ça va payer nos salaires et payer la salaires des autres écrivains. Les gens qui écrivent les articles sont pas payés, ils veulent seulement partager avec nous. Nous voulons faire du marketing internationalement, on a tellement grande vision parce que c’est la première idée même. On veut que ca va vraiment grandir. Ça c’est notre focus.
Qu’est ce qui vous fascine dans la planche a roulettes?
Je pense que quand j’avais 16 ans, j’ai travaille a un café, puis elle m’a dit place A ou place B, je n’ai pas de la bicyclette, puis il y avait une fille qui a apporté son skateboard, c’était fun, et facile. Donc, je suppose que ca fait environ dix ans que j’ai fascine de ca.
Katherine: Je la faire peut-être 8 ans.
Quelles sont vos conseils pour les filles qui aiment la planche?
Je sais que c’est comme une minorité, pas des filles, touts les gars. Moi, c’est comme si elles sont les seules filles ici, elles doivent être confiante. C’est une chose pour célébrer. Elles ne sont pas les seuls qui faisent ça, parce que si tu commence, comme moi, je fais la cherche sur l’Internet pour voir s’il y a d’autres filles faisent du skate. Il y a partout comme. Il y a tellement filles, jusqu'à on parle jamais de ça. À mon avis, ne sentez seul, parce qu’il y a tellement filles qui faisent du skate. N’arretez pas parce que c’est une chose seulement pour les gars.
Katherine: C’est attractive, et c’est bon pour la santé!
Et pour celles qui aiment l’écriture?
Ça aussi, il faut pas quitter. C’est pas facile être écrivain. Faire la peige (comme freelancing), il faut d’envoyer des idées a des revues parce que tu peux penser que personne n’est intéressée par les choses qui tu as écrit. Il faut que tu poursuis les choses qui t’intéresse.
Combien des temps êtes-vous des amis?
Nous nous sommes rencontres sur le skate park. J’ai rencontré une fille sur la rue, mon amie, qu’elle connaissait. J’ai dit wow, il y a des autres filles qui faisent le skate. Le premier jour où nous nous sommes rencontrées, nous avons parlé des rêves, et nous avons trouvé que nous avions le même rêve, et les mêmes idées. Après ça, nous sommes ensembles tous les soir, et tous les journées.
Un photo du groupe avec Erin et Katharine dans le skate park
Welcome to the Forks.com. Société Forks North Portage. 2010. «http://www.theforks.com/28/314/4». 3 auot 2010.
La premiere visite avec Renée Saurette
Une bref histoire: la maison des artistes visuels francophones est une galerie qui permet les artistes francophone au Manitoba à connecter avec les francophones dans tout le pays. En offrant des ateliers, l'organisation d'expositions et faisant d'échanges, la galerie encourage les jeunes et les artistes établis à partager leurs talents avec la communauté.
La galerie est située dans la quartier français de le vieux Saint Boniface dans un édifice historique.
Ça fait 10 ans quand était ensemble, 7 ans quand avait des employées, et avant ca, les artistes ce mettaient ensemble. Puis, ils ont trouvé qu’il n’y avait pas grande chose pour les artistes ici . Donc, ils ont crée la Maisons des Artistes.
Qu’est ce qui signifie les «Tons de Rouge» ?
Les tons rouge est un œuvre de Colette Balkan qui l’a exposé a plusieurs endroits. On a voulu l’exposer ici, alors, elle l’a défait pour faire des bandes. Chaque maille représenté quelqu’un dans la communauté, et ensemble, c’est vraiment fort. Les Tons de Rouge sont aussi une métaphore pour la rivière rouge et comment ca séparé les Anglophones des francophones. Cette œuvre essai d’acceuillir les Anglophones dans notre communauté et de nous visiter.
Le photo de groupe sur les «Tons de Rouge»
Quelle est la signification de le «Volte» ?
Cette une œuvre qui a rapport avec la communauté. Alors, la base est une structure forte qui est fait d’un matériel qui va rouillé (cela a déjà commencé a rouillé). La partie qui tourne représente les pages d’un livre (un dictionnaire), et ca représente l’impact qu’on a sur la culture et dans l’histoire.
Le photo de groupe devant du «Volte»
Y a-t-il des qualifications pour présenter l’art dans la Galerie Communautaire?
La galerie communautaire est un espace qu’on loue pour un mois a la fois. Ceci est pour les artistes qui veulent de montrer leur art.
Décrivez le projet d’échange entre la France et la Manitoba.
Donc, elle n’est pas au courant d’un echange qui se passé entre la France et le Manitoba, mais ils ont eu des partenaire avec d’autres galleries dans le Quebec.
Comment pourrait-on qualifier l’art manitobain? Quelles sont les ses caractéristiques?
L’art manitobain est plutot varié. On a trouve pleine de sortes ici en Manitoba. Cela inclus l’art traditionel, contemporel, la sculpture, la video, et la peinture. Elle trouve qu’il y a des artistes pas mal fortes ici en Manitoba.
Quels hobbies est-ce vous participiez dedans a part de travaille?
Elle chante dans une groupe et la sorte de la musique qu’elle chante est plutot comique.
Un photo du groupe devant «Le Monument»
http://www.maisondesartistes.mb.ca/
La galerie est située dans la quartier français de le vieux Saint Boniface dans un édifice historique.
Qu’est ce que vous faites dans votre vie?
Je travaille sur la Maison des Artistes. Je suis étudiante au temps partiel.
Quand avez-vous découvert que vous voulez devenir propriétaire?
Je ne suis pas propriétaire. Je travaille comme chargeur du projet. Alors, j’ai travaillé avec la directrice général et le directeur artistique pour aider des artistes qui viennent ici, pour mettre les projet et les ateliers ensemble pour les artistes. Donc, depuis longtemps, je savais que je voulais être dans les arts. Je pense c’est important de promouvoir les arts dans la communauté.
Comment est-ce que la Maison des Artistes Visuels Francophonies a-t-elle commencé?
Je travaille sur la Maison des Artistes. Je suis étudiante au temps partiel.
Quand avez-vous découvert que vous voulez devenir propriétaire?
Je ne suis pas propriétaire. Je travaille comme chargeur du projet. Alors, j’ai travaillé avec la directrice général et le directeur artistique pour aider des artistes qui viennent ici, pour mettre les projet et les ateliers ensemble pour les artistes. Donc, depuis longtemps, je savais que je voulais être dans les arts. Je pense c’est important de promouvoir les arts dans la communauté.
Comment est-ce que la Maison des Artistes Visuels Francophonies a-t-elle commencé?
Ça fait 10 ans quand était ensemble, 7 ans quand avait des employées, et avant ca, les artistes ce mettaient ensemble. Puis, ils ont trouvé qu’il n’y avait pas grande chose pour les artistes ici . Donc, ils ont crée la Maisons des Artistes.
Qu’est ce qui signifie les «Tons de Rouge» ?
Les tons rouge est un œuvre de Colette Balkan qui l’a exposé a plusieurs endroits. On a voulu l’exposer ici, alors, elle l’a défait pour faire des bandes. Chaque maille représenté quelqu’un dans la communauté, et ensemble, c’est vraiment fort. Les Tons de Rouge sont aussi une métaphore pour la rivière rouge et comment ca séparé les Anglophones des francophones. Cette œuvre essai d’acceuillir les Anglophones dans notre communauté et de nous visiter.
Quelle est la signification de le «Volte» ?
Cette une œuvre qui a rapport avec la communauté. Alors, la base est une structure forte qui est fait d’un matériel qui va rouillé (cela a déjà commencé a rouillé). La partie qui tourne représente les pages d’un livre (un dictionnaire), et ca représente l’impact qu’on a sur la culture et dans l’histoire.
Le photo de groupe devant du «Volte»
Y a-t-il des qualifications pour présenter l’art dans la Galerie Communautaire?
La galerie communautaire est un espace qu’on loue pour un mois a la fois. Ceci est pour les artistes qui veulent de montrer leur art.
Décrivez le projet d’échange entre la France et la Manitoba.
Donc, elle n’est pas au courant d’un echange qui se passé entre la France et le Manitoba, mais ils ont eu des partenaire avec d’autres galleries dans le Quebec.
Comment pourrait-on qualifier l’art manitobain? Quelles sont les ses caractéristiques?
L’art manitobain est plutot varié. On a trouve pleine de sortes ici en Manitoba. Cela inclus l’art traditionel, contemporel, la sculpture, la video, et la peinture. Elle trouve qu’il y a des artistes pas mal fortes ici en Manitoba.
Quels hobbies est-ce vous participiez dedans a part de travaille?
Elle chante dans une groupe et la sorte de la musique qu’elle chante est plutot comique.
Un photo du groupe devant «Le Monument»
http://www.maisondesartistes.mb.ca/
Inscription à :
Articles (Atom)